Shinny Sorcière en Chef
Nombre de messages : 1297 Date d'inscription : 02/01/2006
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~MysEter Invité
| Sujet: Re: L'enfant du Nouvel An de Lao She Mer 19 Juil - 13:22 | |
| c'est intéressant mais je suis obligée de donner priorité aux livres eso alors j'ai plus le temps pour le reste merciii shinny |
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Shinny Sorcière en Chef
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~MysEter Invité
| Sujet: Re: L'enfant du Nouvel An de Lao She Mer 19 Juil - 13:27 | |
| ah ben c'est sympa, tu as regardé le livre sur la magie des dragons ???? il à l'air vraiment complet et consistant, très emprunt des rituels kabbalistiques d'ailleurs |
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Shinny Sorcière en Chef
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Shinny Sorcière en Chef
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| Sujet: Re: L'enfant du Nouvel An de Lao She Mar 25 Juil - 8:05 | |
| Alors le petit extrait pour Mys ^^ "Lorsque ma tante était de bonne humeur, elle allait parfois jusqu'à m'accorder une faveur spéciale en m'appellant "Petite-Queue-de-Chien", du fait que, comme indiqué, je suis né tout à fait à la fin de l'année lunaire.Même ce trait d'humour de sa part avait quelque chose de déplaisant!Personnellement, je n'avais aucune envie d'être une queue de chien!Porter ainsi atteinte à la fierté d'un enfant n'était certes pas un crime mais, tout de même, une faute impardonnable! Encore aujourd'hui, je ne peux traverser le hutong de la Queue du Chien sans que le rouge me monte au front! Pourtant je n'insisterais pas sur ce sujet, puisque que j'en ai de plus importants à traiter.Pour employer une image, de la grande dynastie des Qing je n'ai connu que les tous derniers feux.Dans le paysage crépusculaire qui était alors celui de l'Empire, la belle-mère de ma soeur avait beau répeter sans cesse qui elle était,tout le monde savait bien que ss titres ne valaient plus grand-chose, et que son autorité, elle le devait surtout à sa langue bien pendue.De fait, même le venduer de galettes qui venait réclamer son dû osait la montrer du doigt en disant:
Alors comme ça, on mange des galettes à crédit, on ne paie pas ses dettes, et on prétend être dans son bondroit, c'est le comble!
Quand à nous, pauvres soldats des bannières, nous avions de toutes manières notre solde assurée, mais nous sentions autour de notre cou comme une corde de plus en pus serrée.
Ainsi,chez nous, la vie de toute la famille dépendait des trois taels d'argent gagnés chaque mois par mon père, auxquels s'ajoutait la distribution gratuite de riz qui avait lieu au printemps et à l'automne.Grâce à la bonne gestion, et à la diligence de ma mère,un revenu aussi maigre nous empêcher tout juste d'échapper à la mendicité."Voilà | |
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| Sujet: Re: L'enfant du Nouvel An de Lao She | |
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